Si vous arrivez au moins une bonne heure avant la tombée de la nuit, c’est la promenade idéale pour vous détendre à votre arrivée. Elle vous donnera aussi un avant-goût de ce qui vous attend. Tôt le matin, avant le petit-déjeuner,
c’est aussi un bon moment pour cette courte promenade (une petite heure) sur une surface plane.
Il n’est pas rare de trouver un ibex de garde au sommet de ce rocher placé par le sculpteur et poète Ezra Orion …

…Juste derrière le rocher, sur la gauche, se trouve un portail vert , qui permet de passer le grillage qui entoure le village.

De l’autre côté, suivez le marquage vert (blanc-vert-blanc) pendant à peu près une demie-heure.

Le chemin suit les contours de la falaise et la pyramide de Hod Akev est toujours en vue au loin.

Puis vous tournez à droite et approchez un promontoire aplani par Ezra Orion. Il y a planté des rails de chemin de fer qui me font penser à une réception silencieuse.

Evidemment, vous n’êtes pas ici pour les cocktails, mais bien pour le panorama à 300° sur Nahal Tzin. Lorsque la visibilité est particulièrement bonne, vous distinguerez au loin la Jordanie .


Les saisons n’ont aucun impact sur le panorama. Nous ne sommes pas dans le Maine ou la Forêt Noire. Mais chaque jour, on pourrait presque dire chaque heure, un effet subtil de lumière, de visibilité et de température produit des tons et des couleurs différents.
C’est ce que Michal Peleg, une artiste locale, a capturé dans un petit album de photos et poèmes.


S’il n’est pas trop tard, vous pouvez continuer et faire le tour du Mont Tzaror, ma randonnée préférée dans la région (boucle de 2 heures).
Sinon, prenez le même chemin pour le retour.
Auteur/autrice : Marion Krivine
French owner of Krivine Guesthouse in Midreshet Ben Gurion, together with my British husband John. A little piece of european greenery in the heart of the Negev Highlands, Israel. I have set out on this journey in order to provide our guests with the most accurate, up-to-date and comprehensive guide of the area. Afficher tous les articles par Marion Krivine